Chapitre 2

Abriel se dépêche de positionner le bras droit du garçon en angle droit; Il place ensuite sa main gauche sur son oreille droite et replie sa jambe gauche; Il fait pivoté son corps sur le côté en faisant attention à maintenir sa tête ; pour finir il dégage sa trachée en inclinant légèrement sa tête vers l'arrière.

la pièce étai plongé dans le noir alors ses mouvements étaient juste. la pièce entière étaient condamné par des barreaux aux vitres juste comme s'il n'avait pas voulu être secouru.

Mais heureusement pour abriel il avait des années d'expérience et savait ce qu'il faisait même s'il ne pouvait pas distinguer le visage du garçon.

*c'est la position latérale de sécurité*

La fille entre au moment où abriel avait terminé. les ambulanciers la suivait de près avec un brancard. Le garçon est ventilé puis intubé.

Femme : "C'est lui! c'est la victime..cet homme nous aide"

Pendant que les ambulanciers prenaient soin du garçon, abriel leur faisait un bref débriefing de la situation pour qu'ils ne soient pas débordé.

Homme:"pouvez vous nous expliquer brièvement la situation"

Abriel Marino:"... L'adolescent est tombé dans le coma suite à une tentative d'autolyse médicamenteuse plus alcool."

Abriel Marino:" Arrêt respiratoire avec un pouls fémorale percu , pris en charge immédiatement par un médecin témoin sur place"

Abriel continu à les briefé un moment laissant les ambulanciers sans voix.

.........

Les ambulanciers soulèvent le brancard avec délicatesse.

Femme: "faites attention à sa tête "

L'homme inconscient ainsi que la femme entrent dans l'ambulance. Abriel s'était coupé en éclatant la fenêtre tout à l'heure et une infirmière lui faisait des points de suture. la fille profite pour venir lui dire au-revoir.

Infirmière : "pouvez vous retirer votre casquette et lever le visage? "

Tout au long, abriel avait pris soin de garder sa casquette. après tout il était le fils d'un célèbre homme d'affaires et son père avait bcp de relations même au Mexique. il ne voulait pas que son visage se retrouve en tête d'affiche d'un journal Local.

Femme: "Merci de nous avoir aidé. comment puis je vous remercier? "

infirmière : "c'est fait "

en même temps l'infirmière avait finit avec les points de suture.

Abriel Marino:"Merci. Si tu tiens vraiment à me remercier, prends bien soin de ton ami."

Femme:" je le ferais. puis je savoir comment vous vous appeler ? "

Abriel Marino:" A-

Abriel ne comptait pas lui dire son nom complet mais juste son prénom. Mais juste au même moment, un homme blond, grand et beau comme un mannequin descendit d'une voiture de sport.

Laal Gomez : " Ana "

il avait un visage un peu froid qui s'attendri après avoir vu la fille.

Ana Lucia gomez: "...Laal tu es là, mon frère ! Laal Mais où étais tu bon sang! Diego a presque faillit mourir... heureusement que cet homme est intervenu"

dit elle en pointant abriel qui n'était déjà plus là.

Laal Gomez : " de quel homme tu parles? je pense qu'il n'y a pas que Diego qui a besoin de consulter. laisse moi te conduire chez le docteur."

Ana regarde autour d'elle

Ana Lucia Gomez :" il était juste.... où est il passé ?"

Ana et Laal sont célèbres dans le monde de la mode. Leur mère est styliste et leur père bijoutier. laal s'est donc naturellement tourner vers ce domaine. il est en première page de couverture des magasines depuis l'âge de 4 ans il a même sa propres marque de vêtements . Ana quant à elle organise des défilés de mi-saison et fin de saison tous les ans à Paris.

Isabel Garcia, la mère de Diego Garcia et Abriel Marino a défendu les parents de ces deux là dans de nombreuses affaires au fil des ans. Diego, Laal et ana sont donc naturellement devenu amis.

Laal Gomez : "très bien. un problème apres l'autre. d'abord comment va t'il?"

***pov Abriel***

Au moment où j'ai vu cet homme arrivé de loin, j'ai su que je devais me retirer. je me sens presque mal d'aller ainsi sans savoir si cet homme va se réveiller bientôt. je suis rassurer qu'il soit bien entouré.

je m'arrête à une boutique où je fais un où deux essayages. je m'achète des fringues pour neufs et je continue mon chemin.

À l'hôpital tout s'est bien passé. J'ai été parfaitement bien reçu par mes collègues

Noam : "Je suis Noam, le médecin chef. bienvenue abriel, tu viens d'arriver, je suis désolée de ne pas pouvoir t'accueillir dans de meilleures conditions. nous sommes toujours débordé ici. tu peux géré deux brûlés ?"

Je me contente d' hocher la tête et de rapidement enfilé mon nouvel uniforme.

j'étais paré pour ce qui m'attendait.

du moins,

c'est ce que je pensais.

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