Baise pronfonde

P.V.D de Noah

Je suis à moitié nu dans la chambre, quand une personne entra dans la pièce, c'est Alexandra.

- Mais tu fais quoi dans ma chambre et en plus à moitié nu ?

- Je ne savais pas que c'était ta chambre, elle est vraiment belle !

- Merci, tu devrais t'habiller plus vite s'il te plait

- Ma nudité te gêne, en vrai j'ai trop envie de faire l'am!ur

- Pourquoi tu me dis ça ?

- Parce que c'est avec toi bébé.

- Quoi moi ?

S'avance vers lui et l'embrasse comme si je n'avais jamais embrassé dans ma vie, comme si le monde allait s'arrêtait d'un coup.

- Non arrête, arrête

Elle se débat pour que j'arrête chose que j'ai pas envie de faire. Je continue en voulant plus je descend une main vers sa partie féminine, je la caresse à travers ses vêtements je sens qu'elle apprécie elle gémit et empêche mes mains aller plus loin son souffle devient plus irrégulier.

- Arrête ce qu'on fait n'est pas du tout bien

- Mourir de faim est bien ?

Dis-je avec se désire dans les yeux, je caresse ses lèvres roses et belle, qui me donne encore cette envie de l'embrasser.

- Laisse-moi juste te toucher pour une fois

- Hmmmh !

Elle gémit quand je caresse sa poitrine en pinçant ses tétons, à travers son petit crop top rose, je sais que je lui fais de l'effet elle ne veut tout simplement pas me l'avouer.

Nous entendons des pas venant du couloir, et elle m'arrête.

- Maman ? (l'appelle sa fille Arielle)

On se regarde et elle me demande d'aller me cacher dans son placard en prenant tout mes vêtements. C'est une sacrée femme, et je maudis cette personne qui vient de m'empêcher de la ba!sée.

- Arielle tu peux entrer

Elle entre.

- Maman pourquoi t'es couchée ? (demande Arielle)

- Je suis un peu êtourdie Arielle, je ne me sens pas très bien.

- ok je comprend maman, dort bien alors.

Sur ce elle s'en va.

Après qu'elle est partie, je vais vers Alexandra. Je défais la serviette qui se trouvait sur mes hanches puis je monte sur elle comme un prédateur.

Elle me stoppa d'un coup je deviens un peu frustrer.

- Noah je pense que ce ne serait pas possible Arielle est juste en bas et si elle m'entend gémir non je ne veux pas qu'elle nous voit ensemble.

- Alors j'ai pas d'autre choix que de lui tout avouer je vais descendre en bas et dire à Arielle " désoler je ne veux plus être ton petit-ami j'étais avant le copain de ta mère et je viens juste de savoir que je l'aime toujours pour cela je te dis au revoir on ne peux plus être ensemble j'ai des sentiments pour ta mère" et après on pourra baiser comme on veut bébé !

- Mais toi tu n'es pas humain !

- Je suis prêt à tout pour avoir ce que je veux sois tu me laisse le faire ou sois je descends pour l'informer de notre relation passée

Elle devient triste.

- J'accepte après on oublie tout

Rapidement je la déshabille je demande qu'elle se met à quatre patate chose qu'elle fait maintenant je baise le petit trou serré de ma soumise qui étouffe son cri dans l'oreiller. Je ne cesse de gifler ses fesses devant moi. À chaque coup de martos je prend ses seins dans mes mains je les pétris à vonlontiers comme de la farine prête à se faire cuir en pain.

J'ai eu la baise la plus intense pour la deuxième fois de ma vie cette baise dont j'ai tant attendu.

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