A la quête du véritable amour

À la quête du véritable amour

Épisode 15

Ils vont bientôt arriver. Aujourd'hui, je vais demander à cette femme incroyable qui a capturé mon cœur de m'épouser. Je suis prêt à en faire ma femme. J'ai hâte de la prendre dans mes bras, de lui exprimer mes excuses et de lui dire combien je l'aime.

Je serai témoin de l'expression sur le visage de ce criminel lorsqu'il réalisera que je suis toujours en vie malgré avoir gaspillé son argent inutilement. Il va bientôt en subir les conséquences de ses actes et sera condamné à la prison. Il a choisi la mauvaise personne à attaquer, et il paiera pour cela.

Quant à Trisia, je ne suis pas encore certain de quelle décision prendre à son sujet, mais je suis enclin à lui offrir une seconde chance en raison de son amie. Elle me méprise simplement parce qu'elle préférerait que son amie soit avec quelqu'un de riche pour prendre soin d'elle, mais elle se trompe sur toute la ligne. Pour l'instant, je préfère ne pas aborder ce sujet.

Je saisis mon téléphone pour contacter mon frère, qui tarde à arriver alors que je ne peux plus attendre longtemps.

Mon frère ne répondant pas, je me vois contraint d'appeler ma mère, qui répond immédiatement dès qu'elle reçoit mon appel.

Au téléphone

Maxwell : Allô maman, dis-moi, vous êtes à quel niveau ? Je ne vous vois pas depuis.

Maman : Calme-toi, nous sommes toujours en route. Il suffit juste de te patienter. On sera là bientôt.

Maxwell : D'accord, je suis calme, juste que je m'inquiète.

Maman : Tu n'as pas à t'en faire.

Je laisse tomber mon téléphone et j'allume mon ordinateur. Je vais regarder un film que j'aime bien pour pouvoir faire avancer le temps sinon je stresse beaucoup trop.

Quelques heures plus tard, j'ai été contacté par mon frère qui m'a informé qu'ils étaient déjà arrivés. J'ai sauté de joie dès que j'ai entendu cela. Enfin, ils sont là, Dieu merci.

Oufff

Je sors pour les accueillir au portail.

Maxwell : Maman

Maman : Mon garçon, comme tu m'as beaucoup manqué.

Elle m'a serré dans ses bras. Ça fait vraiment longtemps. Elle m'a beaucoup manqué, ma petite maman.

Maxwell : Tu m'as beaucoup manqué maman.

Maman : Toi également, mais bon je suis là maintenant.

Maxwell : Soyez les bienvenus.

Igor : Et moi, je ne t'ai pas manqué aussi ?

Maman : Merci mon fils.

Maxwell : Ne sois pas jaloux, tu m'as aussi manqué. S'il vous plaît, entrez.

Nous sommes entrés à l'intérieur de la maison.

Igor : Waouh, ta maison est vraiment grande et très belle.

Maxwell : C'est vrai ?

Igor : Oui, mais regarde, c'est vraiment waouh.

Maxwell : Merci, mais je n'ai pas encore terminé. Il reste beaucoup de choses que je dois encore compléter.

Igor : Ah bon, où as-tu eu le plan ?

Maxwell : C'est un secret pour moi. Tu sais, ma Reine mérite tout ce qu'il y a de mieux. Elle mérite plus que ça même. Elle est une perle rare, un vrai don tombé du ciel uniquement pour moi.

Igor : Oui, tu as raison, elle le mérite vraiment. Elle a traversé pas mal de choses.

Maman : J'espère vraiment que la fille dont tu fais l'éloge est ce que tu es en train de décrire. Je ne veux pas n'importe qui pour mon fils.

Maxwell : Maman, tu vas l'aimer, crois-moi.

Maman : Comme tu le dis. Maintenant, sers-nous quelque chose non. Depuis là, tu ne fais que parler de cette fille. Nous sommes tes invités, mais voyons.

Maxwell : Désolé maman, c'est que je suis vraiment heureux à l'idée de revoir très bientôt ma Reine. J'ai déjà commandé pour nous.

Quelques minutes plus tard, ce que j'ai commandé est là.

Nous avons mangé dans l'ambiance.

Maman : Maxwell, je suis en train de penser à une chose.

Maxwell : Il s'agit de quoi, maman ?

Maman : D'après l'histoire que tu nous as racontée, cette fille n'est pas du tout matérialiste. Donc, je préfère que toi seul ailles parler avec elle. Actuellement, elle doit être inquiète de ta disparition et imagine, tu viens de nulle part avec un gros cadeau pour lui demander pardon, puis tu la demandes en mariage. Ça ne marchera pas de cette manière. Elle prendra beaucoup de temps pour digérer ce que tu lui as fait. Est-ce que tu comprends un peu ce que je veux dire ?

Maxwell : Oui, maman, j'ai aussi pensé à ça. Elle a vraiment souffert de me voir pendant longtemps dans cet état. La pauvre, elle cotise même pour m'envoyer à l'hôpital pour que je reçoive les meilleurs traitements. Je pense que c'est toi qui as raison. J'irai d'abord clarifier les choses avec elle. Je me mettrai à genoux pour demander pardon s'il le faut. En tout cas, je ferai n'importe quoi pour qu'elle me pardonne pour tout le mal que je lui ai fait.

Maman : Voilà, tu as tout compris. C'est après ça que nous allons intervenir jusqu'à ce qu'elle te pardonne. Je sais qu'elle ne peut pas rester fâchée contre toi pour longtemps si elle t'aime vraiment.

Maxwell : D'accord, maman, je pense qu'il est temps de partir.

Maman : Oui, mon fils, tu as tout mon soutien.

Maxwell : Merci beaucoup, maman.

Je m'habille correctement et je prends ma voiture.

Seigneur, accompagne-moi, que tout se passe bien.

Reine

La police n'a encore trouvé aucun signe de Maxwell jusqu'à maintenant. Depuis sa disparition, je n'ai pas eu la force d'aller travailler. Cependant, aujourd'hui j'ai pris la décision de m'y rendre, mais une fois sur place, mon patron m'a renvoyé en raison des jours d'absence que j'avais pris.

Est-il concevable pour moi de travailler en sachant que Maxwell est porté disparu ? Non, je ne peux tout simplement pas travailler dans ces circonstances. Il est un être humain comme moi, avec du sang qui coule dans ses veines. Il m'est impossible de faire semblant que tout va bien et de continuer comme si de rien n'était. Ma conscience ne me le permet pas.

Jusqu'à maintenant, mon esprit reste inquiet. Ma quête pour retrouver Maxwell est sans relâche, et je ne baisserai pas les bras tant que je ne l'aurai pas retrouvé.

Après avoir passé plusieurs heures dehors sans satisfaction, je retourne chez moi. Trisia a encore bu et elle est à moitié nue dans le salon.

Reine : Toi, j'ai vraiment honte à ta place. À ton âge, tu ne sais pas ce qui est bon ou mauvais. Tu te donnes à l'alcool parce que ton mec t'a laissée. Je plains vraiment ton cas.

Trisia : De quoi je me mêle, tu as fini de chercher ton misérable aveugle ? Au moins moi, je ne fréquente pas avec les mendiants contrairement à toi qui tombes amoureuse d'un aveugle. C'est vraiment pathétique. Maintenant que tu as perdu ton job à cause de ce vaurien, on verra bien comment tu vas t'en sortir.

Reine : Comme si ça te regarde. Je peux trouver un autre travail et tu le sais très bien. D'ailleurs, comment es-tu au courant que j'ai été virée de mon travail?

Trisia : N'oublie pas que c'est grâce à moi que tu as eu ce job, donc c'est normal que je sois au courant de tes faits et gestes.

Reine : Ah, j'avais totalement oublié que tu faisais partie de l'une de ses maîtresses, vraiment désolée.

Trisia : C'est mon corps et c'est ma vie. Je fais ce que je veux. Ça ne te regarde pas.

Reine : Oui, tu as tout dit, ça ne me regarde pas.

Trisia : Cette conversation est terminée. Je n'ai pas envie de me disputer avec toi. Tu n'en vaux pas la peine.

Reine : Ouais, c'est ça.

Je quitte la chambre et me rends à l'endroit où Maxwell et moi avons l'habitude de prendre l'air. Je pense à ce que sera ma vie sans mon travail lorsque soudain, une voiture de luxe s'arrête devant moi.

Je me demande qui peut bien être cette personne. Klever, que je connais, n'est pas assez riche pour posséder une voiture aussi luxueuse.

Est-il possible qu'il ait loué cette voiture juste pour m'impressionner ?

En tout cas, cela ne fonctionnera pas avec moi. Qu'il parte loin avec sa voiture. Je continue de manipuler mon téléphone quand la personne sort de la voiture en question.

Je redresse la tête et qui je vois ?

Maxwell, Maxwell, Maxwell.

Non, dites-moi que je rêve ou quoi ?

Sûrement, je suis en train de rêver. Il faut que vous me réveilliez.

Que quelqu'un me réveille.

Il est bien habillé et vraiment, c'est la classe totale.

Reine : Maxwell, c'est toi ?

Maxwell : Oui, mon amour, c'est moi.

Reine : Non, je rêve, ce n'est pas toi.

Maxwell : C'est bel et bien moi, ma reine, la seule et unique pour qui mon cœur bat. Laisse-moi tout expliquer.

Reine : Si c'est une mauvaise blague, alors arrête ça s'il te plaît.

Trisia, qui vient de sortir de la chambre, tombe également sur Maxwell. Elle est étonnée tout comme moi.

Trisia : Maxwell ? Oh mon Dieu, j'y crois pas. C'est vraiment toi ? Donc tu étais riche ? Tu faisais semblant depuis tout ce temps ?

Je vois Maxwell qui semble ne pas contredire les paroles de ma copine.

Tiens, est-ce qu'il faisait semblant avec moi depuis le début ?

Je m'approche de lui.

Reine : À quoi est-ce que tu joues ?

Maxwell : Laisse-moi tout t'expliquer.

Reine : Donc c'est vrai ? Tu m'as trompée ?

Maxwell : Mon amour, calme-toi. Tout a une explication.

paff pafff

Je suis en colère. Je ne me souviens même pas du moment où je l'ai giflé. Il n'a pas le droit de faire ça. Dans quel but a-t-il commis une telle horreur ? Je veux partir, mais il m'a retenu.

Reine : Laisse-moi partir, s'il te plaît et vas t'en de chez moi .

À suivre

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