A la quête du véritable amour

À la quête du véritable amour

Épisode 13

Elle se rapproche de moi et soudain, elle me saute dessus en m'embrassant.

J'essaie de la repousser, cette fille a un comportement anormal. Elle essaie vraiment de me causer des ennuis, mais je ne le permettrai pas. Elle doit arrêter immédiatement.

Au même moment, la porte s'ouvre sur Reine.

Oh non, cette fille m'a vraiment tué.

Elle m'a rapidement lâché dès qu'elle a su l'arrivée de sa copine.

Reine : je peux savoir ce qui se passe ici ?

Maxwell : Reine s'il te plaît, il faut que je t'explique tout. Ce n'est pas ce que tu penses.

Trisia : quoi, Maxwell tu ne peux pas me dire que tu n'as pas aimé ce délicieux baiser que je t'ai donné.

Maxwell : ferme ta bouche et laisse-moi lui expliquer ce qui s'est réellement passé.

Reine : non non ne te dérange pas, j'ai tout compris. D'ailleurs qu'est-ce que je veux faire de tes explications ? Tu es un homme libre et tu peux faire tout ce que tu veux avec n'importe quelle femme. Ça m'est égal.

Maxwell : Non, ne me dis pas ça. Tu sais très bien que c'est toi que j'aime et je ne peux rien faire pour te blesser. Elle m'a embrassé de force parce qu'elle est rentrée à la maison soul.

Reine : Vous pouvez continuer votre travail. J'ai assez de souci comme ça.

Trisia : Reine, écoute-le, il te dit la vérité. En plus, je ne savais pas que tu étais en couple avec lui. D'ailleurs, qu'est-ce que moi je vais faire d'un homme aveugle ? Tu sais très bien que j'aime les sorties, les voyages, le plaisir et cet homme ne peut rien me donner de tout ceci. Tu peux garder ça pour toi-même. Je n'en ai rien à faire. Il n'est même pas mon genre. Chrrriiiuii.

Elle nous dépasse et entre dans sa chambre.

Maxwell : Ma belle, s'il te plaît, pardonne-moi. Tu es la seule femme qui me plaît. Je t'aime de tout mon cœur.

Reine : Maxwell, ce n'est pas comme si toi et moi sommes en couple. Tu peux embrasser qui tu veux. Ça ne me dérange pas. D'ailleurs, j'ai eu une journée très difficile aujourd'hui. Je suis dans ma chambre.

Maxwell : J'ai besoin de parler avec toi, mon amour.

Reine : Pas maintenant, s'il te plaît. J'ai besoin de prendre un bain et de me reposer.

Elle est partie et je me retrouve seul dans le salon.

Je suis un homme et il est dit que les hommes ne pleurent pas, mais personnellement je pleure toujours quand je suis triste. Je me mets à pleurer comme un bébé.

Je me lève et, appuyé sur ma béquille, je quitte la maison. J'ai besoin de parler à quelqu'un. Je dois appeler mon frère, mon seul confident qui pourra m'aider.

Je sors de la maison et trouve un endroit discret pour appeler mon frère au téléphone.

J'ai essayé de l'appeler, mais malheureusement, il ne répond pas. Je me sens étourdi. Cette fille a tout gâché. J'étais sur le point de réussir, mais elle a tout ruiné. Si Reine me rejette, je crains de ne pas savoir comment serait ma vie sans elle. Je ne peux pas imaginer ma vie sans elle, avec nos futurs enfants. Je dois d'abord me calmer pour réfléchir clairement. Il n'y a pas de problème sans solution. Je vais probablement trouver une issue, mais je dois garder mon calme pour y arriver.

Klever

Je n'ai reçu aucune nouvelle de Tania et je pense que c'est préférable ainsi. Elle a rapidement compris la leçon et s'est éloignée de moi. J'espère que cela restera ainsi pour toujours. Elle doit trouver un autre homme car je ne veux plus rien avoir à faire avec elle.

La seule femme que je veux, c'est Reine, et je l'aurai quel qu'en soit le prix.

Je viens de quitter chez ma mère et je suis rentré chez moi. J'ai essayé d'appeler Trisia mais elle ne répond pas. Comme elle ne veut plus m'aider à me débarrasser de cet individu indésirable qui veut me voler la femme qui m'est destinée, je vais devoir trouver une autre solution.

Je connais quelqu'un qui pourra m'aider.

Je monte dans ma voiture et je quitte la maison.

J'arrive où vit mon ami Fabrice.

Klever : Mec, comment tu vas ?

Fabrice : Mon pote, ça fait vraiment longtemps que je ne t'ai plus aperçu. Dis-moi quel bon vent t'a amené chez moi ?

Klever : J'ai besoin de ton aide.

Fabrice : Je savais que tu n'es pas venu ici juste pour me saluer. Dis-moi en quoi je peux t'aider ?

Klever : Aide-moi à me débarrasser d'un homme qui veut me mettre des bâtons dans les roues.

Fabrice : Tu es sûr de toi ? Tu veux vraiment éliminer cette personne ?

Klever : Oui, c'est tout ce qu'il mérite.

Fabrice : Je connais quelqu'un qui pourra t'aider, mais ça va te coûter cher.

Klever : Nous parlons de combien déjà ?

Fabrice : Un million.

Klever : Eeeh, mais n'exagère pas s'il te plaît.

Fabrice : C'est ça ou rien, ce travail est beaucoup plus dangereux tu sais ?

Klever : Oui je sais, mais je suis ton ami. S'il te plaît, revois le prix.

Fabrice : Neuf cent mille et ce n'est pas à débattre.

Klever : D'accord, je te donne la moitié et tu auras l'autre moitié après le boulot.

Fabrice : D'accord, je t'accompagne en même temps chez le boss.

Klever : D'accord, je suis prêt. On attend quoi encore ?

Fabrice : Bougeons alors.

Mon ami m'a emmené chez son patron, qui vit dans une maison inachevée. Je me demande comment ils peuvent vivre dans de telles conditions sans tomber malades.

De toute façon, ce ne sont pas mes affaires.

Fabrice a discuté avec le patron. Je lui ai fourni les informations nécessaires pour faciliter son travail. J'ai payé la moitié de la somme demandée.

Je suis rentré chez moi après avoir remercié mon ami pour son aide.

Pour célébrer ma réussite, j'ai invité une jolie femme qui restera avec moi toute la nuit.

Quelques jours plus tard .

Maxwell

Depuis un moment, Reine se montre distante envers moi, à peine me parle-t-elle. J'ai tenté de tout faire, mais elle semble sur la défensive. Je peux comprendre ses sentiments, mais il y a toujours une explication et elle devrait m'écouter aussi. Ce qui s'est passé n'était même pas de ma responsabilité, mais depuis ce jour-là, elle semble me fuir.

Elle se contente de me nourrir et de m'aider à prendre mon bain, c'est tout. Avant, elle passait beaucoup plus de temps avec moi après le travail. Je me sens vide, sans personne à qui parler.

Quant à Trisia, elle ne reste même plus à la maison. Elle part et revient quand elle veut.

Actuellement, je me sens angoissé et triste.

Je suis sorti de la maison pour discuter avec mon frère au téléphone.

Quelques minutes plus tard, une voiture s'est arrêtée à ma hauteur.

Deux hommes costauds sont descendus de la voiture.

Pourquoi ils s'approchent de moi ? Est-ce encore un plan de cet homme pour parvenir à ses fins ?

Est-il prêt à en arriver là pour parvenir à ses fins avant d'obtenir ce qu'il veut ?

Nous verrons bien comment cette situation va se terminer. Je ne reculerai devant rien. Bientôt, chacun récoltera ce qu'il a semé.

Ils m'ont soulevé et jeté dans la voiture.

Il s'arrête devant une maison assez horrible.

Un homme de grande taille m'interpelle.

Il retire le bandeau qui me couvre les yeux.

_Hey, gamin, on m'a dit que tu es aveugle, c'est vrai ?

Je ne réponds pas. Je ne sais pas pourquoi je devrais répondre à cette question.

_ Gamin, c'est à toi que je parle.

Maxwell: J'ai un marché à vous proposer si vous êtes d'accord.

_To i? Qu'est-ce que quelqu'un comme toi peut me donner? Tu n'es qu'un mendiant toi. Je fais exactement ce pour quoi j'ai été payé.

Maxwell: 5 millions et tu me laisses partir, c'est ni vu, ni connu.

_Hum, les enfants s'amusent. Tu ne sais pas de quoi tu parles. Tu me prends pour ton pote?

Maxwell: 8 millions.

Paff paff

Il m'a giflé avant de braquer son arme sur moi.

Maxwell: Ton numéro de compte.

_Attend, ce gamin-là est sérieux?

Maxwell: On ne plaisante pas avec les affaires.

_Mais on m'avait dit que tu n'étais qu'un pauvre mendiant.

Maxwell : Oublie ce que tu as entendu sur moi et parlons d'affaires. Saisis ta chance avant qu'il ne soit trop tard. C'est une belle opportunité à ne pas rater. Je suis aussi un homme d'affaires et je sais comment ça fonctionne.

_Tu as raison, mais je veux dix millions.

Maxwell : Marché conclu, maintenant donne le numéro.

Sans même perdre de temps, j'ai vite réglé cette affaire.

_vas t'en et cache-toi un peu.

Maxwell : Ne t'en fais pas, je veux aussi que toi et ton équipe vous quittiez cet endroit le plus vite possible.

_Avec cette somme, considère que c'est fait.

Maxwell : Merci beaucoup, c'est un plaisir de faire affaire avec vous.

_ tout le plaisir est pour moi , prend soin de toi boss , c'est toi le boss maintenant .

Maxwell : A plus .

Je quitte cet endroit maudit. Je prends un taxi et je me rends dans ma nouvelle maison qui est encore en cours de finalisation.

Seigneur, merci de m'avoir sauvé la vie. Klever, ou peu importe ton nom, tu ne perds rien pour attendre.

Klever

Je suis au travail lorsque mon téléphone se met à sonner. Je regarde et je vois que c'est Fabrice.

Je pense immédiatement qu'il s'agit du mendiant. J'espère qu'il a fini par rejoindre ses ancêtres dans l'au-delà.

Je souris largement avant de décrocher l'appel.

À suivre ...

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