1.Prologue

Salut, je m'appelle Mia kinawamari. En ce moment, je viens d'avoir dix-neuf ans. Je suis née en France, ma mère était d'origine Italienne et mon père était japonais. Comment un Japonais pourrait tomber amoureux d'une Italienne ? Ça, je n'en sais rien. Surement la magie de l'amour. Je suis à l'université et je suis en 2e année. Mon rêve est de devenir médecin pour une raison que vous allez bientôt comprendre. Je ne continue pas mes études en France, mais au Japon, j'ai décidé d'étudier à une université au Japon. J'ai eu un peu du mal à suivre le rythme, mais petit à petit, on finit habituer. Bref, en fait, je veux vous compter mon histoire. Je ne dirais pas qu'elle était fabuleuse, mais je ne dirais pas aussi qu'elle était horrible. Il y avait de tout, surtout du rire, de la joie, mais aussi de la tristesse. Trêve de bavardage, je commence.

*Seize ans avant*

J'étais en train de faire un dessin de moi ma mère et mon père(je l'ai toujours ce dessin, quand même c'est précieux ce genre de chose ! Je vous conseille de ne pas brûler vos beaux dessins de quand vous étiez enfant, vous pouvez les améliorer comme moi(je fais vraiment ça dans la vraie vie)) j'espère que papa et maman vont aimez, j'ai vraiment hâte de les montrez . Sur ce, je descendis des escaliers tout en souriant en regardant mon dessin. Arriver en bas, je ne savais plus si je devrais pleurer ou appeler la police(mes parent m'ont appris dès mon plus jeune âge à contacter la police pour des urgences comme celle-ci). J'étais paralysée par la peur en voyant un assassin s'amusez à tuer mes parents. Il rigolait et rigolait je pense que j'en ai eu mal aux oreilles à ce moment-là. Je ne pouvais pas détourner le regard. Soudain l'assassin se tourna vers moi avec un sourire maléfique. Il avançait petit à petit vers moi.

-Oh en voilà une surprise, je pensais qu'il n'y avait que deux jeunes marier, mais en fin de compte, ils ont eu une fille. Intéressant, hihihihi! Hahaha dit-il en lechant le bord de son couteau remplit de sang. J'avais encore plus peur. Ses rires raisonnaient dans la pièce où nous étions. J'avais envie de crier et de pleurer en même temps, mais je ne pouvais rien faire. Il allait bondir son couteau vers moi, la porte s'ouvrit alors. La police entra avec ma tante et un petit garçon à côté d'elle. Il était le fils d'un voisin. C'est sûrement lui qui a appelé ma tante pour alerter la police. Elle n'habitait pas loin de cette,, maison mais c'est impossible pour elle d'entendre quoi que ce soit depuis sa maison. Mais ce que je ne comprends pas jusqu'à maintenant, c'est : comment ce garçon à fait pour savoir qu'il y avait un problème alors que moi je n'en savais rien. La police arrêta le criminel qui me dit en éclatant de rire

-J'aurais bien aimé voulu jouer encore un peu avec toi, petite.

En entendant ces mots le petit garçon et ma tante essayaient de me rassure. Peu de temps après, mon oncle entra et remercia infiniment le petit garçon. Comme il était un sans abrit, ils ont décidé de l'embaucher comme mon serviteur personnel. Depuis ce jour, je vivais avec ma tante, mon oncle, ma cousine qui avait le même âge que moi, son grand frère qui est mon cousin, mon serviteur personnel et d'autres personnels. Pour les prénoms, je vous dirais la prochaine fois.

***Au revoir et à bientôt***!

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