Localisation inconnue

Lorsque ses yeux s’ouvrir sur un plafond qui lui était inconnu, Fléau se redressa en sursaut avant de réprimé un léger gémissement. Une douleur similaire à celle qui vous suie après vous êtes fait rouler dessus par une demi douzaine de bulldozers, se fit sentir à l’endroit où devait se trouver auparavant ses côtes mais il doutait qu’avec une douleur pareille celles-ci eussent bien voulu rester. Il tenta néanmoins de se calmer et pris de grandes inspirations, quelqu’un comme lui ne devait jamais au grand jamais montrer ses faiblesses à autrui.

Une fois calmé, il essaya de se souvenir de se qui lui était arrivé. Il se baladait entre les hautes colonnes du temple, lorsqu’il avait surgis par derrière et l’avait attaqué. Il l’avait prévenu qu’il ne resterait pas sans réagir mais Fléau avait penser pouvoir le raisonner avant. Quel idiot faisait-il. Ensuite, Fléau c’était battu, avait fini par le semer et avait atterrit par inattention sur ce chemin en pierre noire goudronné et… plus rien. Il avait récolté de belles plaies pendant son combat et perdu pas mal de sang dans sa fuite, il n’était donc pas étonnant qu’il ait perdu connaissance ou presque. Mais cela ne lui disait pas où il se trouvait.

Il essaya de se redresser mais y renonça vite. Il balaya la petit pièce de ses yeux rubis. Elle petite et très simplement garnis : une petite table au centre, deux fenêtres pour l’éclairage une juste à sa gauche et puis une à l’extreme opposé, un escalier dans le fond ainsi qu’une porte en face et des étagères éparpillés sur tous les murs, ces dernières contenaient, à première vu, quelques livres, des herbes, et d’autres objets dont l’allure lui étaient étrangères.

Cela fait très chamanique. Pensa-il. Peut être ais-je atterri chez une hideuse sorcière ou un de ses bandits de chasseurs de prime.

Tandis que son esprit essaya de se représenter la nature de son « hôte » ainsi que ses motivations, les derniers évènements avant sa perte de conscience s’imposèrent à lui comme ses cornes au milieu de son front.

Il se revis en train de se diriger vers ses appartements lorsqu’il avait était surpris par Massacre. Il l’avait trainer de force dans un coin pour lui parler, d’un ton alarmant, de sa rencontre avec le « roi ». Dans un premier temps Fléau n’avait pas compris pourquoi il était si agitait et n’avait pas compris un traitre mot de se qu’il baragouiner. Il avait donc fait la bêtise de le conduire dans un lieu isolé pour parler. Lorsqu’ils avaient atteins les jardins royaux, des assassins avaient surgis et les avaient blessé.

Fléau ne se souvins pas très bien de la suite mais il revoyait Massacre l’aider à passer un étrange portail … puis plus rien.

Alors que son esprit rejouer toute la scène de leur agression en boucle, il entendit des pas se rapprochaient souplement sur le tapis de feuille boisé de la forêt. Lorsqu’il huma l’air, il ne décela pourtant aucune odeur...étrange. Son odorat, comme celui de tous ceux de son espèce, était extrêmement développé au point qu’il remis en question sa faculté à percevoir les vibration à travers le sol mais plus la chose se rapprochée plus il réussit à identifié la taille de l’individu.

Taille moyenne, je dirais environ 1m63 soit une dizaine de centimètre de mon que moi.Hum… au vu du bruit qu’il fait se n’est pas un assassin à moins qu’il n’ait rien retenu de son enseignement auprès des crocs pourpres.Mais...cela pourrait bien être un de ses…

Soudain, il fut interrompu par un léger grincement provenant du petit coin à sa droite qui devait dissimuler la porte pour pouvoir entrer dans ce drôle de petit temple. Malgré son souffle court et l’engourdissement qui lui parcourait l’intégralité du corps, il s’empressa de se lever pour rejoindre le sombre coin à l’opposé pour s’y dissimuler…

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