Vicenzo passa rageusement ses mains dans ses cheveux et se dirige rapidement vers la salle de bain.
"Amanda, ouvre cette porte ! Si tu ne le voulais pas, pourquoi as-tu répondu à mon baiser ? Pourquoi m'as-tu laissé atteindre cet état de folie totale pour toi ?"
Il cria, en frappant à la porte de la salle de bain.
Amanda se blottit dans un coin de la salle de bain, cherchant à voir si elle pouvait s'échapper par la fenêtre, mais elle était trop haute, et elle était aussi nue.
"C'est toi qui as commencé. Je n'ai rien fait. Mon seul erreur était de ne pas pouvoir contrôler les sensations de ce corps traître," dit-elle, en colère à la fois contre lui et contre elle-même pour avoir cédé aux désirs de son corps traître qui l'avait mise dans ce grand désordre.
Malgré sa fureur, Vicenzo sourit à sa confession comme quoi elle ne pouvait pas contrôler les réactions de son corps quand il la touchait.
"Au contraire, tu l'as fait. Tu me provoques sans arrêt. Si tu savais que tout ce que tu fais m'excite à mort, je suis sûr que tu ne continuerais pas à le faire."
"Amanda, ouvre cette porte avant que je ne la défonce ! Sache que nous finirons ce que nous avons commencé quoi qu'il en soit, et je suis certain que ton petit corps 'traître'," dit-il, en reprenant ironiquement ses propres mots, "aimera ça et en voudra beaucoup plus."
Amanda savait qu'il était assez fort pour enfoncer la porte. Même si elle avait peur, elle n'avait pas d'autre choix que de l'ouvrir.
Quand Vicenzo entra dans la salle de bain, elle se tenait dos au mur, essayant une fois de plus de cacher son corps avec ses bras croisés devant elle.
Amanda jeta de nouveau un coup d'œil à son membre, toujours rigide dans toute sa largeur et sa longueur, et il suivit son regard.
"Donc c'est mon ami ici que tu as peur. Je te garantis qu'il ne te procurera que du plaisir. Bien sûr, en tant que vierge, je ne mentirai pas, ça pourrait faire un peu mal au début, mais je promets qu'après ça, tout ce que tu ressentiras c'est du plaisir," dit Vicenzo, contemplant ce que son père et les membres du conseil diraient s'ils le voyaient maintenant, lui, le grand et cruel chef de mafia Vicenzo Salvatore, discutant de virginité avec une femme dans la salle de bain de sa maison, au lieu de la jeter sur le lit le plus proche et de la posséder, comme la plupart des hommes comme lui le feraient.
Il devenait vraiment faible, pensa-t-il, et c'était terrible pour sa réputation. C'est pourquoi il n'attendit pas la réponse d'Amanda. Il s'approcha d'elle, entoura sa taille de son bras et prit possession de ses lèvres d'une manière sauvage et urgente, dévorant ses lèvres douces avec les siennes.
Pendant qu'il l'embrassait, Vicenzo pensait à ce que son père lui disait toujours, qu'un bon Capo ne montre aucune faiblesse à personne, surtout pas à une femme car elles sont rusées et peuvent conduire un homme à sa destruction. C'est pourquoi il prit la décision qu'il allait la posséder, et que diable avec le code d'honneur de la mafia qui dit qu'une épouse doit rester pure jusqu'au mariage.
Quant au rituel du drap de lit, il trouverait quelque chose. Pour sa santé mentale, ce à quoi il ne pouvait se priver en ce moment était de s'enfoncer profondément en Amanda et de libérer tout le désir qu'il ressentait.
Malgré sa peur, Amanda ne pouvait résister au désir de se rendre une fois de plus au délicieux plaisir du baiser de Vicenzo. Mais pour une raison qu'elle ne connaissait pas, elle sentait qu'il était plus brutal quand il recommença à l'embrasser dans le cou et prit possession de ses délicats tétons, les suçant avec plus d'urgence et beaucoup moins de douceur. Pourtant, elle ne pouvait pas contrôler les gémissements rauques qui s'échappaient de sa gorge.
Soudain, il descendit avec des baisers langoureux jusqu'à son ventre plat et continua à descendre. Il posa une de ses jambes sur une de ses épaules et dégusta sa féminité avec délectation.
Cette action la rendit à la fois gênée et excitée.
Aucun homme ne l'avait jamais touchée de cette manière auparavant.
Amanda sentit qu'elle allait s'évanouir de plaisir, ses gémissements devenant plus forts et lorsqu'il augmenta l'aspiration sur son clitoris, elle poussa un cri de plaisir, et son corps commença à convulser dans son premier, fantastique orgasme.
Vicenzo sourit, l'observant épuisée et toujours rouge de l'orgasme qu'il lui avait donné quelques instants auparavant.
Il se leva et murmura à son oreille avec un regard malicieux.
"Maintenant tu es prête à me prendre complètement en toi."
"Je pourrais simplement te prendre ici et maintenant, debout, en me tournant le dos, en nous tenant au bord de l'évier. Mais puisque c'est ta première fois, je serai plus traditionnel." Il la souleva comme si elle ne pesait rien et la déposa sur le lit king size immense.
Amanda resta silencieuse, sentant toujours la sensation agréable de l'orgasme qu'il lui avait donné. Elle ne ressentit d'appréhension que lorsqu'il se positionna sur elle, entre ses cuisses. Lorsqu'elle sentit son intrusion, elle se raidit et ferma les yeux.
Vicenzo trouva amusement dans son expression de peur et sourit, un sourire séduisant empreint de désir. Il s'introduisit lentement en elle, réalisant qu'elle se tendait à nouveau. Pour la détendre, il suça un à un ses tétons, glissant de plus en plus profondément en elle.
Avec Vicenzo qui lui procurait du plaisir aux tétons, Amanda se détendit et recommença à gémir. C'est alors que la douleur qu'elle s'attendait à ressentir la frappa plus fort qu'elle ne le pensait. Elle cria lorsqu'il la pénétra entièrement, mais la douleur fut peu à peu remplacée par le plaisir alors qu'il lui faisait l'amour sensuellement, entretenu par la douleur et le plaisir après avoir rompu sa barrière de virginité.
Vicenzo devint de plus en plus rapide et puissant à chaque coup de rein, gémissant comme un maniaque avide de plaisir. Il n'avait jamais connu de plaisir aussi intense et fantastique que celui-ci. Elle était si serrée, ce qui amplifiait son plaisir.
Maintenant, Amanda lui griffait le dos avec extase, ses mains glissant jusque sur ses fesses fermes et les saisissant alors qu'il la pénétrait de plus en plus vite et fort. Finalement, Amanda hurla son nom lorsqu'elle fut submergée par un autre orgasme, encore plus incroyable que le premier.
Vicenzo ne se libéra à l'intérieur d'Amanda qu'après s'être assuré qu'elle avait atteint le sommet du plaisir. Lâchant un grognement tel le rugissement d'une bête sauvage, il éjacula tout son sperme en elle. Sans aucun doute, c'était le meilleur orgasme de sa vie, pensa-t-il.
Il n'utilisa intentionnellement pas de protection, comme si elle devait tomber enceinte, cela accélérerait son plan d'avoir un enfant avec elle, un héritier pour prendre sa place en tant que patron lorsque le moment viendrait.
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