Chapitre 18

Inspiration....expiration.... Inspiration.... Calme toi Eren.. Tu n'as qu'à juste appeler cet homme ce putain de connard de mer.... Chuuut calme toi Eren tout ira bien tu es juste un peu fou parce que tu es stressé, c'est tout !

-Eren :Grisha??

-Grisha : Eren, mon fils c'est bien toi ?

Non c'est le pape ! Enfoiré !

À chacun de ses mots je resserrais mon téléphone dans mes mains pour m'empêcher de l'éclater au sol.

-Eren : Ouais....

-Grisha : J'attendais ton appel depuis tellement longtemps. Je me suis senti mal quand tu m'as raccroché au nez.

-Eren : Quoi???

-Grisha : Ce n'était pas toi ??????

Putain j'en étais sûr cet enfoiré de Livaï Ackerman avait répondu !? Décidément c'est moi qui vais lui arracher les couilles.

-Eren : Bref t'as quoi à me dire ?

-Grisha : J'aimerais te voir... Ça fait trop longtemps !

-Eren : Je suis parti en voyage pour une entreprise, donc j'suis pas en ville !

-Grisha : Quoi? Vraiment ? Ça m' étonne vraiment de toi ! Les visites sont autorisés j'espère ? Je viendrais, je dois absolument te présenter quelqu'un de très important qui voudrait vraiment te voir.

C'est bon j'avais tenu assez longtemps, il fallait que je me décompresse ou j'allais explosé.

-Eren : Mais putain j'ai pas que ça à faire de voir ta sale gueule ! Tu crois vraiment que je vais te pardonner comme ça ? Sale enfoi.....

Je fus coupé par la voix d'un petit garçon....

-????? : Grand frère je veux te voir !!

-Eren : Excuses moi mais tu es qui ??

Cette voix ne me disait absolument rien...

J'avais calmé mon ton, je ne pouvais pas crier sur un petit garçon. Et j'suis pas cruel à ce point là.

-Sieg : Sieg Jaeger.. Ton petit frère.. Grand frère je veux vraiment te rencontrer.. Papa me parle tout le temps de toi.

Je restai sans mot, la bouche grandement ouverte, alors mon père s'était remarié après m'avoir abandonné dans un orphelinat...

Sur le coup du choc et de l'énervement mon téléphone glissa de mes mains.. Il tomba violament au sol, je me lèva, le regard vide et plein de haine tout en boitant faisant souffrir mon pied, mais je ne me préoccupai pas de ce détail.

Je marchai sur le l'écran de mon téléphone sans aucune honte, J'entendis un léger craquement et sorti avec du mal de l'infirmerie. J'avais besoin de prendre l'air mon esprit était beaucoup trop troublé.

Je m'agrippai au mur sortant de temps en temps de petits gémissements par le mal de mon pied puis m'attaquai aux escaliers, le jardin de l'entreprise était en bas et c'était ma destination... J'observa d'abord les escaliers, hésitant j'allais sûrement me prendre une marche ou deux dans la gueule et après je serais arrivé, rien de grave.

Ouais je sais.. C'était une mauvaise idée mais j'allais quand même pas rester enfermé comme un animal.

J'avançai mon pied..

-????? : Je vois que tu hésite à descendre..

Sur le coup de l'effrayement, je perdis l'équilibre, j'ai bien cru qu'à ce moment j'allais tomber mais le dénommé bâtard me tira contre son torce avant la chute fatale. Non ce n'était pas le bâtard ni l'autre bâtard mais l'autre bâtard ..

Il y avait tant de Bâtards dans ce monde, il faudrait vraiment que je trouve des surnoms originaux pour chacun d'eux. Bon revenons à la situation de ce fameux bâtard de Jean, qui me tira par le poignet et je m'écrasa contre son torce.. Je ne pensais pas qu'il était si dur.. Je me retira immédiatement..

-Jean : Je t'ai sauvé la vie tu devrais me remercier.

Et ce con était encore fière.

-Eren : Juste en voyant ta gueule j'aurais préféré mourir.

-Jean : Toi ! En ce moment tu fais trop le malin ! Tu crois vraiment que j'avais oublié tous l'argent que tu me doit, je vais te faire payer pour ça ! Tu croyais vraiment qu'en partant t'allais échapper aux ennuis ?!

Il avait pas tort je commençais vraiment à regretter d'être venu.

-Eren : Non je te l'ai déjà dit, je voulais pas voir ta sale gueule de cheval ! Tu crois que j'ai peur de toi ? Je te signale que je suis plus grand que toi alors respecte moi !

-Jean : Le jour où je te respecterais ça sera le jour où tu seras moins con ! Comme ça risque pas d'arriver, ça veut dire '' jamais''.

-Eren : Bon tu me soûle, je ne veux pas perdre mon temps avec toi. Bouge !

Je le contourna mais il me prit par le bras..

-Jean : Je peux t'aider à descendre si tu veux !?

Ce mec était vraiment bipolaire !

Il se mit à genoux, dos devant moi attendant que je m'accroche à lui.

-Eren : Oh! Tu fous quoi mec ? Je vais pas monter sur ton dos, je préfère descendre à pied.

-Jean : Il te manque un pied, tu vas galerer comme ça. Allez monter ou je te pousse dans les escaliers... Profites je vais pas te faire ce privilège une seconde fois..

Eh merde ! Je monta autant en profiter, de sa fasse générosité.

En me prenant il me tena fermement. C'était juste horrible de devoir m'accrocher à lui comme ça.. Et d'enrouler mes bras autour de son cou..

-Eren : Vas-y! Hé tate pas mes fesses comme ça!!

Une fois au milieu des escaliers il s'arrêta et je fis un gros coup sur ses côtes comme un cavalier essayant de faire avancer son cheval.

-Eren : Aller avance ! Au galop !

-Jean : À une condition !

-Eren : Je savais que tu ne pouvais pas être aussi gentil ! *dis je en soupirant *

-Jean : Comment t'as fait pour que Livaï Ackerman tombe sous ton charme ? Chais pas il y a bien quelque chose, t'es moche donc ça doit pas être ça et en plus t'es con !

-Eren : Yaaaaa je te permet pas !

Je lui donna un coup violent avec mon pied dans ses côtes plus fort que le précédent, ce qui le déstabilisa.

Mon dieu... Pourquoi je suis monté sur son dos ?? Nous avons dévaler les escaliers une par une ! Je sentais chaque marche me frôlé le corps..

Le bruit était incessant comme des claquement de tam-tam ! Ma parole ces escaliers avaient l'air d'être interminable, j'avais mal partout mais quand j'ai pu voir la tronche que faisait Jean en tombant, j'ai failli avoir un arrêt cardiaque.

Une fois au sol Jean était étaler sur moi comme une étoile de mer ! Je le repoussa avec le peu de force qu'il me restait et tous employés qui se trouvaient être juste devant les escaliers comme par '' hasard ''.

Ayant une splendide vue sur notre chute mortelle, se sont précipité pour nous relever, j'aperçus MIN-MIN ouais c'est comme ça que j'appelle Armin, ça lui allait bien. Alors il se précipita pour venir m'aider je commençais vraiment à l'apprécier ce petit. Tandis que tous les autres canards gay étaient gaga devant l'autre attardé mentale qui était complètement en PLS.

À Suivre......

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